Mais qui sont les petits nouveaux ?

En 2024, le Conseil d'Administration de l'ATAA s'est étoffé de cinq nouveaux membres. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs motivations ? Vous voulez tout savoir sur eux ? Alors c'est parti !

Commençons avec celui qui a renvoyé son portrait plus vite que l'éclair, l'homme qui a assisté à plus de Points Contact de l'ATAA que quiconque : Yann Lesecq !

C’est tellement réconfortant et sécurisant d’être au milieu de toutes ces personnes motivées, impliquées, gavées de connaissances sur tellement de sujets qui nous touchent toutes et tous.
  • Depuis combien de temps travailles-tu dans le domaine de la traduction ou de l'adaptation audiovisuelle ?

Les prémices de mon activité de TAV remontent à 2019. (Oui, late bloomer…)

  • Quel aspect de ce métier te passionne le plus ?

Exerçant principalement pour le doublage, je répondrai la quadrature du cercle, définitivement. Ça et pouvoir m’approprier l’œuvre originale pour en restituer une nouvelle version avec ma propre griffe. (N’aspirerait-il pas secrètement à devenir, un jour, dans une autre vie, scénariste ? Mmmmmaybe.) Je trouve aussi le passage en studio passionnant. Assister en direct live au split de mon cerveau en 3 entités autonomes (technique/direction artistique/interprétation) pour donner vie au texte, c’est particulièrement magique. Surtout quand « ça marche ». Et puis étant musicien à mes heures perdues (d’ailleurs, si vous les retrouvez, faites-moi signe, j’en ai besoin), le studio, forcément…

Mais qui sont-ils ?

C'est vrai, ça, qui sont ces huit membres qui composent le conseil d'administration de l'ATAA en 2023 ?

Afin de remettre les individus au centre de l'histoire, nous avons eu l'idée de ces portraits. Peut-être qu'en nous découvrant plus avant, vous ressentirez la grande envie de nous rejoindre au CA lors du prochain exercice qui commencera en 2024 !

Et pour le dernier portrait, mais pas des moindres, voici notre trésorière de choc, Simona Florescu.

Même avec de petites actions, on participe aux progrès de l'association, et voir notre effort collectif porter ses fruits, c'est aussi une leçon d'endurance et de persévérance au quotidien.
  • Quelle est la plus grande satisfaction que tu retires de ton travail de traductrice adaptatrice ?

Je crois que c'est à la fois le fait d'enrichir et d'approfondir mes connaissances dans tout un tas de domaines par les nombreux documentaires sur lesquels j'ai eu la chance de travailler, et la joie de faire rayonner la culture roumaine et ses œuvres cinématographiques en France. Ayant quitté la Roumanie à 4 ans, j'ai été un peu coupée de son histoire et de sa culture, mais je suis très émue de pouvoir aujourd'hui les redécouvrir et les partager avec les Français à travers les magnifiques documentaires se penchant aussi bien sur la faune et la flore que sur les traditions et coutumes ancestrales de certaines de ses régions encore méconnues.